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QUAND ON S'HABITUE À CE QUI NOUS ABÎME

  • Photo du rédacteur: Saâd LAHRICHI
    Saâd LAHRICHI
  • 11 juin
  • 1 min de lecture


Il arrive qu’on s’habitue à ce qui nous fait du mal, sans même s’en rendre compte. Par peur de souffrir davantage ou simplement parce qu’on ne voit pas d’alternative, on finit par s’adapter à des situations ou des relations qui nous abîment. Petit à petit, on tolère l’intolérable. On banalise ce qui nous blesse, on justifie ce qui nous détruit à petit feu, et on finit par croire que c’est « normal ».

Mais ce n’est pas normal.

Cette forme d’adaptation, si humaine soit-elle, peut grignoter notre confiance, notre joie, notre force. On avance dans une spirale où l’on s’éloigne de soi, où l’on oublie qu’on mérite mieux. Pourtant, il suffit parfois d’un moment de lucidité, d’un regard bienveillant posé sur nos propres émotions, pour commencer à voir les choses autrement.

Reconnaître ces mécanismes, c’est déjà un premier pas. C’est se donner la chance de dire non, de poser des limites, de chercher de l’aide, de s’entourer autrement. Et surtout, c’est se rappeler qu’on a le droit – et même le devoir – de choisir ce qui nous fait du bien.


Parce qu’on mérite un quotidien qui nous élève, pas qui nous détruit.


Saâd Lahrichi


 
 
 

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