NOTRE CERVEAU PRÉFÈRE SOUVENT UN ENFER FAMILIER À UN PARADIS INCONNU.
- Saâd LAHRICHI
- il y a 2 jours
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Cette idée met en lumière un mécanisme profondément ancré en nous : face à l'inconnu, notre système nerveux a tendance à choisir ce qu’il connaît — même si cela nous fait souffrir. Par instinct de survie, notre cerveau privilégie la sécurité des repères, aussi douloureux soient-ils, plutôt que de s'aventurer vers un changement, aussi prometteur soit-il.
C’est ce qui peut nous pousser à rester dans des situations qui ne nous conviennent plus : un travail stressant, une relation toxique, ou des habitudes de pensée négatives. L’inconnu nous effraie, parce qu’il échappe à notre contrôle. Même un possible « mieux » peut être perçu comme une menace, simplement parce qu’il est nouveau.
Sortir de ce schéma demande du courage — et surtout, de la conscience. En adoptant une mentalité de croissance, en nous autorisant à explorer d'autres voies, nous pouvons peu à peu apprivoiser cette peur de l’inconnu. Et peut-être découvrir que derrière cette crainte se cache un véritable potentiel de transformation, de mieux-être et de liberté.
Saâd Lahrichi
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