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LES ABUS LAISSENT UNE EMPREINTE DANS NOTRE ADN

  • Photo du rédacteur: Saâd LAHRICHI
    Saâd LAHRICHI
  • 5 avr.
  • 1 min de lecture

Des chercheurs de l’Université de Genève ont révélé quelque chose de bouleversant, mais aussi porteur d’espoir : les abus — qu’ils soient physiques, émotionnels ou psychologiques — ne s’effacent pas sans laisser de traces. Ils marquent profondément les personnes qui les subissent, jusque dans leur corps, jusque dans leur ADN

Ces expériences traumatisantes peuvent modifier notre biologie à travers ce qu’on appelle les changements épigénétiques, liés notamment au stress chronique. Ces altérations peuvent influencer notre santé mentale et physique, parfois même au point de se transmettre à nos enfants. Ainsi, la douleur vécue peut traverser les générations.

Mais ce constat ne doit pas nous plonger dans le désespoir. Au contraire, il nous rappelle à quel point il est important d’écouter, de soutenir, de soigner. En prenant conscience de ces blessures invisibles, nous pouvons ouvrir la voie à la guérison, cultiver la résilience et reconstruire ce qui a été brisé.

Rien n’est figé. Même si les traces sont là, il est toujours possible de transformer la douleur en force, et d’écrire, pas à pas, une histoire plus douce pour demain.


Saâd Lahrichi

 
 
 

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