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ON SOUFFRE PLUS DE NOTRE IMAGINATION QUE LA RÉALITÉ

  • Photo du rédacteur: Saâd LAHRICHI
    Saâd LAHRICHI
  • 19 sept.
  • 1 min de lecture

On l’a tous déjà vécu : cette peur qui monte, ce stress qui s’installe... alors que rien ne s’est encore passé. C’est souvent dans notre tête que les choses prennent des proportions énormes. L’expression « On souffre plus de notre imagination que de la réalité » résume parfaitement cette tendance qu’on a à se faire du mal tout seul, simplement en anticipant le pire.


Notre esprit imagine des scénarios catastrophes, amplifie nos peurs, nous fait douter, paniquer, ruminer. Et parfois, ce qu’on redoute le plus finit par ne jamais arriver. Ou alors, quand ça arrive, c’est bien moins grave que ce qu’on avait imaginé. Pourtant, entre-temps, on a déjà souffert... pour rien, ou presque.


C’est là qu’on comprend à quel point nos pensées peuvent nous piéger. L’anxiété, par exemple, ne vient pas toujours de ce qui se passe vraiment, mais de ce qu’on pense qu’il pourrait se passer. Et cette peur de l’inconnu ou du futur nous empêche souvent de profiter du présent.


Apprendre à calmer cette petite voix dans notre tête, à revenir à l’instant présent, à prendre du recul... c’est essentiel pour souffler un peu et se sentir mieux. Des outils comme la pleine conscience, la respiration, ou simplement parler à quelqu’un, peuvent vraiment aider à remettre les choses en perspective.


Au fond, la vie est déjà assez compliquée comme ça. Alors si on peut éviter de se rajouter de la souffrance imaginaire, pourquoi s’en priver ?



Saâd Lahrichi





 
 
 

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