SORTIR DU RÔLE DE VICTIME , C'EST COMMENCER À SE LIBÉRER
- Saâd LAHRICHI
- 24 juil.
- 1 min de lecture
Tant qu’on reste enfermé dans le rôle de victime, on laisse les autres — ou les circonstances — tenir les rênes de notre vie. On attend que quelque chose change à l’extérieur, sans réaliser que le vrai changement commence à l’intérieur.
Être dans ce rôle, c’est parfois une manière inconsciente de survivre, de demander de l’aide, de chercher à être reconnu. Mais à long terme, cela peut nous priver de notre pouvoir d’agir, nous maintenir dans la douleur, et nous empêcher de grandir.
Sortir de cette posture, ce n’est pas nier ce qu’on a vécu. Ce n’est pas minimiser la souffrance. C’est au contraire reconnaître la blessure, puis décider qu’elle ne dictera plus notre avenir.
Cela demande du courage : accepter ses responsabilités, poser des limites, apprendre à dire non, à se choisir. Mais c’est aussi un chemin vers plus de clarté, de confiance, et de liberté intérieure.
Se libérer du rôle de victime, c’est dire :
"Je ne suis peut-être pas responsable de ce qu’on m’a fait,
mais je suis responsable de ce que j’en fais maintenant."
Et c’est là que commence une vie plus consciente, plus alignée, plus forte.
Saâd Lahrichi
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